« Aujourd’hui, après quarante années et ce qu’on peut inscrire à leur actif comme à leur passif, nous voulons opérer une véritable rupture avec les méthodes adoptées jusque-là dans la prise en charge des affaires du Sahara : rupture avec l’économie de rente et des privilèges et la défaillance de l’initiative privée, et rupture avec la mentalité de la concentration administrative.»
Pourquoi donc aujourd’hui, et précisément après quarante années ?.
Eh bien, c’est parce que, au terme d’années de sacrifices et d’efforts au plan politique et en matière de développement, nous sommes arrivés au stade de la maturité.
Et aussi parce que nous avons créé les conditions de mise en chantier d’une étape nouvelle dans le processus de consolidation de l’intégrité territoriale et d’intégration totale de nos provinces du Sud au sein de la mère patrie.
C’est dans ce cadre que s’inscrivent la mise en œuvre du modèle de développement des provinces du Sud, et la mise en œuvre de la régionalisation avancée.
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